Les Français privilégient très largement l’assurance-vie, mais sous-estiment l’intérêt des contrats de capitalisation.

Faut-il ouvrir une assurance-vie ou un contrat de capitalisation ? Les deux.  OUI

Les caractéristiques financières et fiscales sont identiques : ces enveloppes peuvent détenir les mêmes fonds et la fiscalité en cas de retrait est identique.

Une personne assujettie à l’impôt sur la fortune (ISF) y trouvera même un autre avantage : la valeur taxable au titre de  l’ISF est fondée sur le montant placé lors de la souscription alors que, pour l’assurance-vie plus classique, c’est la valeur au 1er janvier de chaque année qu’il est bon de déclarer.

En fait, la différence essentielle entre ces deux produits tient à surtout de l’absence de désignation de bénéficiaire.

En assurance-vie

Lors du décès du souscripteur , il y a transmission des capitaux en faveur de personnes désignées dans la clause bénéficiaire, avec un cadre fiscal favorable.

En contrat de capitalisation

Le dénouement se fait sans clause bénéficiaire, mais celui-ci peut faire l’objet d’une donation.

Or, sur le plan fiscal, les donations ouvrent droit à des abattements importants : 100 000 euros par donateur et donataire en ligne directe.

Enfin, la donation d’un contrat de capitalisation peut être traitée par  de nombreuses options. Il est par exemple possible de mettre un démembrement et d’obtenir une réserve d’usufruit pour permettre à la personne qui donne ce produit de conserver de son vivant les revenus de l’épargne.

 

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